Die Räuberhöhle (Wald zu Fontainebleau)
Über den Wald zu Fontainebleau (von den Insidern einfach "Bleau" genannt) gibt es viel zu erzählen.
Durch die Lage, 50 bis 80 Kilometer südostlich von Paris, ist er schon
immer ein beliebtes Ausflugsziel für die Einwohner der französischen Hauptstadt gewesen.
Am Wochenende treffen sich Wanderer, Kletterer, und Naturliebhaber, und der Wald ist so groß, daß es Platz für alle gibt:
man kann auch sogar allein sein, wenn man es möchte.
Zwei Förster, die "Sylvains" Dénecourt, und sein Nachfolger Colinet, haben im Laufe des XIX. Jahrhunderts den ganzen Wald erkundet, Wander- und Forstwege trassiert, und benannt.
Bei den vielen Sehenswürdigkeiten, die sich im Wald befinden, gibt
es eine gewisse Anzahl von Höhlen: manche sind einfach durch die
chaotische Stellung von Sandsteinblöcken entstanden, andere wurden von Menschen eingerichtet.
Eine von diesen Höhlen ist die sogenannte "Räuberhöhle" oberhalb
von Barbizon. Barbizon war eine sehr beliebte Ortschaft bei vielen
Landschaftsmalern.
Da das Wochenende sonst zu kurz ist, kommt man Freitag abends
mit seinem Ruck- und Schlafsack, und übernachtet in der Höhle. So
ist man am Samstag beim Sonnenaufgang schon an Ort und Stelle.
Je nach Fassunsvermögen einer Höhle ist es manchmal möglich, daß zwei oder mehr Wanderergruppen sich ein solches Obdach
teilen.
Die Räuberhöhle scheint trotz ihrem Namen keine berüchtigte
Vergangenheit gehabt zu haben: es ist nur so, daß ähnliche Stellen
unwiderstehlich die Phantasie erregen, und bald laufen die tollsten
Erzählungen herum.
Das Bild zeigt den Haupteingang im Winter 1965-1966. Obwohl eine
einzige Kerze in der Höhle leuchtet, war es nicht am ersten Advent,
(Adventskränze gibt es in Frankreich nicht), sondern einfach, damit man sieht, was man tut, wenn man drinnen ist.
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Il y a beaucoup à dire sur la forêt de Fontainebleau (que les initiés
nomment simplement "Bleau"). Par sa situation, entre 50 et 80 kilomètres au Sud-Est de Paris, elle a toujours constitué un but
de promenade très apprécié des habitants de la capitale.
Le week-end, randonneurs, alpinistes, ou purs amoureux de la nature se rencontrent là, et la forêt est assez grande pour qu'il y ait de la place pour tout le monde: on peut même aussi être seul si on le souhaite.
Deux gardes forestiers, les "Sylvains" Dénecourt et son successeur Colinet, ont exploré toute la forêt au cours du XIXme siècle. Ils ont tracé des sentiers de randonnée et des routes forestières, et leur ont donné des noms.
Parmi les nombreuses curiosités situées dans la forêt, on compte un certain nombre de grottes: certaines d'entre elles sont simplement constituées par une disposition chaotique de blocs de grès, d'autres ont été aménagées par la main de l'homme.
L'une de ces grottes est la Caverne des Brigands, au-dessus de Barbizon. Barbizon est une localité qui fut prisée par beaucoup de
peintres paysagistes.
Comme le week-end serait trop court autrement, on arrive le
vendredi soir avec sac à dos et sac de couchage, et on passe la
nuit dans la grotte. Ainsi, on est déjà à pied d'oeuvre le samedi
matin au lever du soleil.
Selon la capacité d'une grotte, il est parfois possible que deux
groupes de randonneurs, ou davantage, se partagent un tel abri.
En dépit de son nom, il semble que la Caverne des Brigands n'ait
pas eu un passé chargé: seulement, des endroits analogues excitent irrésistiblement la fantaisie, et les histoires les plus
échevelées ne tardent pas à courir.
La photo montre l'entrée principale durant l'hiver 1965-1966. Bien
qu'une unique bougie brûle dans la grotte, ce n'était pas le premier
dimanche de l'Avent (en Allemagne, il existe des couronnes de
l'Avent supportant quatre bougies, que l'on allume successivement
de semaine en semaine jusqu'à Noël), mais seulement pour que l'on voie ce qu'on fait à l'intérieur.
Klaus Kieslich 28/12/2006 15:00
Abenteuerromantik im besten Sinne !Gruß Klaus