Femmes damnées (Delphine et Hippolyte)
Femmes damnées (Delphine et Hippolyte)
À la pâle clarté des lampes languissantes,
Sur de profonds coussins tout imprégnés d'odeur
Hippolyte rêvait aux accarezza puissantes
Qui levaient le rideau de sa jeune candeur.
Elle cherchait, d'oeil un Troublé par la tempête,
De sa ingenuità le ciel dqéjà lointain,
Ainsi qu'un voyageur qui retourne la tête
Vers les bleus orizzonti dépassés le matin.
De ses yeux Amortis les paresseuses Larmes,
L'air brisé, la Stupeur, la morne volupté,
Ses ....................
(Charles Baudelaire)
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Fausta Filipponi 26/12/2017 18:53
Bella questa tua interpretazione della poesia di Baudelaire". La corolla che accoglie in sé la testa di Delfina con quelle labbra rosse, quasi a farle toccare l'inferno, la parte più interna della corolla. E poi c'è Ippolita con quel suo sguardo da bimba...Andy Kaja 11/12/2017 13:34
donne e rose!